"Pendant que les champs brûlent" - Niagara (1990)
Des arbres se penchent
C'est plus fort, plus fort que tout
Accrochée aux branches, l'air me semble encore trop doux
Dans l'herbe écrasée, à compter mes regrets
Allumette craquée et tout part en fumée
Pendant que les champs brûlent (hou-hou-hou)
J'attends que mes larmes viennent (hou-hou-hou)
Et quand la plaine ondule (hou-hou-hou)
Que jamais rien ne m'atteigne (ouh-ouh-ouh)
(Ouh-ouh-ouh)
Ce soir-là on s'est embrassés sans se parler
Autour de nous, le monde aurait pu s'écrouler
Les yeux cernés, des poussières dans les cheveux
Au long de mes jambes, la caresse du feu
Pendant que les champs brûlent (hou-hou-hou)
J'attends que mes larmes viennent (hou-hou-hou)
Et quand la plaine ondule (hou-hou-hou)
Que jamais rien ne m'atteigne (ouh-ouh-ouh)
(Ouh-ouh-ouh)
(He he)
(He-he)
(He he)
(He-he)
(He he)
(He-he)
(He he)
(He-he)
Les yeux cernés, des poussières dans les cheveux
Au long de mes jambes, la caresse du feu
Pendant que les champs brûlent (hou-hou-hou)
J'attends que mes larmes viennent (hou-hou-hou)
Et quand la plaine ondule (hou-hou-hou)
Que jamais rien ne m'atteigne (hou-hou-hou)
Pendant que les champs brûlent (hou-hou-hou)
J'attends que mes larmes viennent (hou-hou-hou)
Et quand la plaine ondule (hou-hou-hou)
Que jamais rien ne m'atteigne (hou-hou-hou)
(Hou-hou-hou)